En tant que pronostiqueur, j’essaie de faire du mieux possible afin d’obtenir un maximum de réussite. Des passages sans avoir de gain sont à prendre en considération tout comme, lors des compétitions, un nombre indéfini d’aléas qui peut survenir et interférer sur le "prono" préalablement établi. C’est pourquoi, lorsqu’un parieur se réfère aux "pronos" d’un pronostiqueur de son choix, il est nécessaire qu’il le suive sur une période relativement longue et pas seulement sur quelques pronostics afin d’avoir une idée assez précise de sa réussite.
Edité le 09.05.2019 sur le blog.
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L'échec.
Les "pronos" que j’élabore, une passion et leur réussite, un plaisir. L’échec fait partie de la panoplie du pronostiqueur. Il faut apprendre à le gérer. Rester lucide sur ce point. J’espère toujours réaliser la série la plus longue possible mais… le grain de sable survient tôt ou tard sans tambour ni trompette. Bien souvent sur un match où le résultat semble apparemment évident. Un écueil inattendu mais réel. Alors, les séries de victoires sont ainsi plus ou moins variables. Voire parfois très très courtes… sur un temps plus ou moins long.
09 mai 2019.
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Neutralité d’analyse.
Pour établir un pronostic et afin de ne pas influencer ses choix, lors de l’analyse d’une future rencontre, il ne faut pas s’attacher à une équipe ni être fan de l’une d’entre elles. On se doit d’abandonner tout sentiment à leur égard. La réussite tient parfois à peu de chose et se laisser emporter par un quelconque favoritisme nuirait à la clairvoyance.
20 mai 2019.
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